Au service des citoyens : coopération nationale et internationale

La Défense assure chaque jour la sécurité de la population, en Belgique…

Sur le territoire national, la Défense travaille main dans la main avec la Police et la Sécurité civile. Depuis le 1er juillet, l’opération Vigilant Protector renforce la surveil­lance des sites nucléaires.

En mer du Nord, la Marine coordonne l’opération OPERA avec dix-sept autorités fédérales et provin­ciales, combinant surveillance maritime, contrôle des pêches et lutte contre les activités illégales. Le Ser­vice Médical de la Défense collabore avec le SPF Santé publique, intégrant la médecine militaire dans les for­mations universitaires. À Bruges, une seconde Cyber Defense Factory a vu le jour, pour soutenir l’innova­tion. Quant au Service d’Enlèvement et de Destruction d’Engins Explosifs (SEDEE), il se mobilise chaque jour pour neutraliser explosifs et colis suspects.

…comme à l’étranger.

Au niveau international, la Belgique agit avec ses alliés de l’OTAN, notamment en déployant ses troupes sur le flanc est de l’Europe. Elle coopère aussi avec la France à travers la Capacité Motorisée (CaMo projet), et avec les Pays-Bas pour surveiller le ciel du Benelux.

Les pilotes belges s’entraînent aux États-Unis avec la 312e Escadrille, une unité belgo-américaine.

En mer, notre Marine a dirigé une opération de lutte contre les mines pour l’OTAN et a participé à Baltic Sentry, visant à protéger les infrastructures sous-marines.

La cybersécurité fait aussi partie des priorités. La Bel­gique préside le groupe européen de réaction rapide, qui réunit douze pays et reste constamment prêt à protéger la cybersécurité des systèmes critiques, tant au sein de l’UE qu’au-delà.